La culture indoor, ou culture en intérieur, demande un certain investissement pour optimiser le rendement. L’accent est notamment mis sur la ventilation, qui permet d’optimiser au maximum, l’air contenu dans l’espace, occupé par les plantes. Il est important de le renouveler régulièrement, afin de maintenir une bonne croissance des plantes.
À quoi sert un extracteur d’air ?
Dans des espaces confinés, l’air qui ne se renouvelle pas régulièrement, finit par appauvrir sa capacité en CO2. Pour éviter ce problème, un système de ventilation pallie cette lacune, en propageant de l’air riche en CO2. Les plantes en ont besoin pour pousser de manière pérenne et en bonne santé. Bien sûr, elles ont aussi besoin d’autres éléments, comme un substrat adéquat et une eau de qualité. Un bon extracteur d’air de bonne qualité, permet également d’éliminer l’humidité et la chaleur en excès. Elle régule aussi la température ambiante. Il est possible de l’optimiser en ajoutant des éléments, comme un filtre à charbon de bois, pour purifier l’air de ses impuretés, de la poussière et des odeurs indésirables.
Comment choisir au mieux un extracteur d’air ?
Chaque modèle correspond au type de culture indoor. Pour optimiser le mouvement de l’air dans l’espace dédié, il faut justement prédéfinir cet espace. Sa hauteur, son volume et les plantes cultivées déterminent l’élément à installer. Les lampes installées jouent aussi un rôle, dans le choix de l’extracteur. Installer une ventilation, sans prendre compte de ces détails, risque de nuire plus que de renforcer la croissance des plantes. Il sera trop puissant ou pas assez.
Quel est le calcul à appliquer pour définir l’extracteur d’air adéquat ?
Déterminez ce volume de place, en multipliant la longueur par la largeur, puis par la hauteur. Vous obtenez ainsi les m³ de la pièce. Ensuite, pour connaître le volume d’air à extraire, il faut multiplier ce résultat par 60. Ce qui correspond à la capacité d’extraction d’air de l’appareil, sur une heure. À cela, s’ajoutent les autres paramètres précités et bien d’autres encore, plus poussés. Il faut donc multiplier ce deuxième résultat par 3. Vous obtenez ainsi le modèle qui correspond le mieux à votre pièce, même s’il ne fonctionne pas en permanence.
